La campagne aux portes de paris
Paris Society réinvente l’hôtellerie en s’attaquant à un monument ô combien fantasmé : l’escapade à la campagne.
Le groupe ne fait jamais les choses à moitié, aussi c’est en investissant un monument historique qu’il donne corps
à son ambition hôtelière : l’Abbaye des Vaux-de-Cernay.
Cette pépite, Laurent de Gourcuff, fondateur de Paris Society, la reconnaît au premier regard,
après des années à chercher Le lieu pour bâtir le projet hôtelier de ses rêves. Ce majestueux domaine chargé d’histoire,
de la genèse cistercienne jusqu’à l’âge d’or des Rothschild, devient son immense terrain de jeu pour imaginer
une incroyable maison de famille XXL au cœur d’une nature préservée à 45 minutes de Paris.
L'Abbaye
L’esprit de l’ancienne maitresse des lieux règne sur les différents espaces de l’Abbaye : réception, les chasses, l’auberge, le réfectoire des moines, l’enfilade de salon, le jame’s bar, la boutique et les plus prestigieuses chambres de l’hôtel.
Les Haras
A quelques pas de l’Abbaye, les anciennes écuries de la propriété dévoilent des chambres mansardées au confort douillet, un sublime SPA et espace bien-être, une piscine et une salle de sport.
Le pavillon d’honneur
Au Pavillon d’Honneur, joyau niché dans les arbres, on cultive l’esprit relais de chasse et le sens du confort.
Le pavillon des sources
Spacieux et convivial, ce pavillon traversant comblera les amoureux de volumes généreux et d’espaces lumineux.
Les activités indoor
Cinéma, karaoké, blind test ou encore gaming room, le seul embarras ici, c’est de choisir ! Même les enfants ont un espace dédié : un Kids Club pensé et réalisé avec la complicité de la marque Tartine et Chocolat.
Les activités nautiques
Après une balade à vélo autour du lac, quoi de mieux qu’un tour de barque ou de pédalo.
Les animaux fantastiques
Craquez d’affection pour les animaux fantastiques au détour d’une balade dans le domaine.
La Trattoria Di Bambini
Dans cette salle à manger baignée de lumière, on se régale de délicieuses spécialités italiennes, à partager en famille ou entre amis.
Le Betty’s Bar
Au cœur de 3 salons douillet, il accueille à toute heure les amateurs de piano, les gourmands autour d’un goûter réconfortant et, le soir venu, ceux de l’aperitivo au coin du feu.
La Ferme
Comme toute ferme qui se respecte, elle abrite de nombreux animaux dont il faut prendre soin. Poules, lapins, ânes, petites chèvres… réclament des caresses à toute heure de la journée.
La salle de jeux
Entrez dans un espace où l'harmonie du divertissement résonne à travers les âges. Notre salle de jeux offre une pause ludique invitant petits et grands à un moment de détente et de convivialité.
L'hôtellerie réinventée
Comme un immense terrain de jeu au cœur d’une nature préservée, l’Abbaye des Vaux-de-Cernay promet de faire de chaque instant un rêve éveillé. Avec son service attentionné au plus haut degré, l’intimité enveloppante de ses chambres, la générosité de ses espaces communs aussi grandioses que familiers et l’infinie palette de ses activités, le domaine nous transporte dans cette incroyable maison de famille à 45 minutes de Paris.
Sous la baguette talentueuse de Cordélia de Castellane qui a imaginé chaque décor dans le moindre détail, dessiné chaque motif, pensé chaque chambre de manière singulière en s’inspirant de l’histoire des lieux, le domaine prend à rebours les codes classiques de l’hôtellerie et tisse des liens plus profonds avec ses hôtes.
Au fil des 4 saisons, au coin du feu ou au bord du lac, entre ressourcement, nourritures terrestres et moments d’exception, chacun écrit sa propre expérience à l’Abbaye des Vaux-de-Cernay.
Les murs de l’Abbaye des Vaux-de-Cernay résonnent de 900 ans d’histoire.
Fondée en 1118 par une poignée de moines, elle prend son essor en devenant Abbaye Cistercienne en 1147 avec une communauté de 200 religieux. Poursuivant son activité au fil des siècles en dépit des guerres et des épidémies, l’Abbaye se vide de ses occupants en 1790, lorsque l’Assemblée Nationale la divise et qu’elle est transformée en simple carrière de pierres, ainsi vouée à l’oubli.
C’était sans compter l’opiniâtreté d’une femme avant-gardiste et passionnée, la Baronne Charlotte de Rothschild, qui, près d’un siècle plus tard, fait renaître le lieu de ses cendres. Amie des arts, peintre et musicienne (son professeur de piano était un certain Chopin), elle fait scrupuleusement rebâtir chaque bâtiment et ajoute des constructions, façonnant le domaine tel que nous le connaissons aujourd’hui.
La seconde guerre mondiale signe la fin de l’ère Rothschild sur un dernier coup d’éclat (les statues du Château de Versailles ont été abritées dans les bois de l’Abbaye, au nez et à la barbe de l’occupant Allemand).
Passant depuis lors entre plusieurs mains, l’Abbaye entame en 2023 une nouvelle page de son histoire, prête à rayonner à travers le monde.